Mea Kākau: Peter Berry
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Les conseils de Michel Cymes pour gérer ses crises de somnambulisme
Wikiō: Les conseils de Michel Cymes pour gérer ses crises de somnambulisme

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ʻO Aperçu

Le somnambulisme est une condition dans le cadre de laquelle une personne marche ou se déplace pendant son sommeil comme si elle était éveillée. Les somnambules peuvent participer à diverses activités alors qu’ils ou elles sont endormis (par exemple s’habiller, aller aux toilettes ou déplacer des meubles, etc.).

Cette kulana intervient le plus souven chez les enfants. Le somnambulisme étant susceptible de conduire à des chutes et accidents, il est vital de traiter la personne et de prendre des mesures dans la maison si l’un des membres du foyer présente ce comportement.

Nā Hōʻailona

Le somnambulisme est surtout courant chez les enfants de 4 à 8 ans. Il est particulièrement susceptible dʻintervenir pendant le sommeil profond lent, ainsi que tôt dans la nuit, en environment une à deux heures après l’endormissement.

Nā loli selon l’individu, les symptômes impliquent éventuellement:

  • que la personne s’assoit dans son lit et qu’elle ouvre et ferme les yeux;
  • que son regard ou ses yeux sont vitreux;
  • qu’elle parcourt la maison en effectuant certaines activités quotidiennes (allumer et éteindre les lumières, par exemple);
  • qu’elle parle ou se déplace de manière irrationnelle.

Selon la fondation nationale américaine pour le sommeil (National Sleep Foundation), il est conseillé et préférable de réveiller une personne somnambule, mais de le faire doucement de manière à ne pas la faire sursauter (Mahowald). Kaukaʻi, il est généralement difficile de réveiller un (e) somnambule. La personne ne sait généralement plus où elle est. Reconduisez doucement la personne dans son lit.


La plupart des somnambules ne se souviennent pas de leurs épisodes de somnambulisme.

Le somnambulisme n’intervient en principe pas au cours d’une sieste, le sommeil n’étant alors pas suffisamment profond.

Nā Kumu

Le somnambulisme peut être le signe dʻune pathologie sous-jacente (syndrome des jambes sans repos, apnée obstructive du sommeil ou migraines, par exemple). Le médecin pourra souhaiter effectuer un dépistage de ces nā kūlana qui peuvent se soigner.

Le somnambulisme peut également être dʻorigine génétique. Si vos parents ont des antécédents de somnambulisme, il est probable que vous soyez également somnambule vous-même.

ʻO kekahi mau mea e mālama ai i ka hana maʻamau a me ka make ʻana o ka induire du somnambulisme. Il s’agit notamment du zolpidem (sédatif-hypnotique), connu sous les noms de marque Ambien et Edluar.

ʻO Sécurité

Étant donné que le somnambule n’est pas conscient de son en environmentnement quand il est endormi, il ou elle risque de se blesser, notamment en trébuchant ou en tombant. Au vous avez tendance au somnambulisme, vous allez devoir évaluer votre domicile pour éviter les risques de chute. Ces précautions impliquent de plaquer les fils électriques contre les murs, de fermer soigneusement portes et fenêtres avant de vous coucher, ainsi que dʻenlever les meubles qui encombrent les zones de pass. Si vous avez une chambre à l’étage, vous devrez éventuellement mettre en place un portail pour éviter une chute dans les escaliers.


Kānāwai Diagnostic

Le somnambulisme ne constituue pas toujours un problème et la plupart des enfants s’en déb isinent en grandissant. C dependant, si vous avez eu un accident à cause du somnambulisme, ou bien si vous en avez subi plusieurs épisodes de suite, il sera éventuellement préférable de consulter un médecin afin d’exclure une autre condition potentiellement à l’origine de ce problème.

ʻO Tenez un journal afin de vous préparer à ce rendez-vous. Notez ce que vous avez mangé ou bu avant de vous endormir, la durée de votre sommeil, ainsi que tous autres symptômes éventuels pendant l’épisode de somnambulisme.

Étant donné que vous n’êtes pas nécessairement entièrement conscient (e) de vos symptômes de somnambulisme, interrogez vos proches sur vos momo de comportements. ʻO Demandez-leur de décrire vos symptômes, a me notez-les également dans votre puke pai.

Si votre médecin estime que vous présentez peut-être un troubles du sommeil, il ou elle pourra vous faire effectuer une analysis du sommeil. Les spécialistes du sommeil vont effectuer un suivi de vos ondes cérébrales, de vos rythmes cardiaques, ainsi que des autres signes vitaux pendant votre sommeil. Ces informations pourront aider votre médecin à diagnostiquer d'éventuels troubles du sommeil.


Palekana

Kekahi mau facteurs semblent réduire la probabilité de somnambulisme. Il s’agit notamment de réduire le stress, l’anxiété, ou les conflits. Une pratique de relaxation avant le coucher (haʻi'ōlelo, musique, bain chaud, a me nā mea ʻē aʻe) vont réduire les risques d'épisodes de somnambulisme.

ʻO ke kūlana Cette peut également être ma muli o un épuisement sévère. Il est important de faire le maximum pour dormir sucisamment la nuit. Il sera éventuellement utile dʻavoir des horaires de sommeil fixes, et dʻen faire une priorité. Évitez également de consommer de la caféine ou de l’alcool avant le coucher. Lʻalcool est un neurodépresseur (luna psychoactif diminuant lʻactivité du système nerveux kikowaena) susceptible de provoquer du somnambulisme.

Hoʻoikaika

Les médicament et autres traitements médicaux du somnambulisme ne sont généralement pas nécessaires. Si votre enfant est somnambule, il suffit de le ou la raccompagner doucement jusqu’à son lit.

Le traiture des troubles sous-jacents entraînant le somnambuslime (syndrome des jambes sans repos, par exemple), pourra contribuer a réduire les épisodes de somnambulisme. Si le somnambulisme pose problème de manière persistante, il est donc conseillé de consulter un médecin. Il est en effet préférable de s’assurer qu’il n’existe pas de problème de santé sous-jacent à l’origine de la pathologie.

Nā hana maʻamau médicamenteux

Si le somnambulisme se poursuit, des médicament tels que des benzodiazépines ou des antidépresseurs pourront contribuer à réduire les épisodes de somnambulisme. Les benzodiazépines sont des médicament couramment utilisés pour le traiture de l’anxiété. Ils peuvent également s’avérer utiles dans le cadre du traiture des troubles du sommeil. Des benzodiazépines tels que le clonazépam (Klonopin) et le diazépam (Valium), en particulier, ont une efficacité prouvée en matière de réduction des épisodes de somnambulisme. Les antidépresseurs et benzodiazépines peuvent contribuer à réduire le stress et l’anxiété, autant de facteurs qui augmentent la probabilité du somnambulisme.

Hipnose

L'hypnose est une thérapie alternative qui sʻest avérée efficace pour le traiture de certains nā mea maʻi somnambules. L'hypnose wahi la personne dans un état dʻesprit extrêmement détendu et concentré. Le thérapeute induit alors des suggestions de santé ciblées en fonction de l’affection dont souffre le patient. Ma estime que ces manaolana vont touchher la konsia a un niveau plus profond, dʻune manière plus signifikan, la personne étant mieux à même de les recevoir.

ManaʻO Mākou

Hoʻololi ʻelemakule i ka ʻōnaehana hānau kāne

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Hiki i nā hoʻololi kūnewa i ka ʻōnaehana hānau kāne ke hoʻopili i nā loli i kaʻiʻo te ticular, hana perm, a me nā hana erectile. Kūleʻa mau kēia mau loli.ʻAʻole like me nā wahine, ʻaʻole ʻike nā kāne ...
Pākuʻi x-ray

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ʻO ka hihi x ka umauma he x-ray o ka umauma, nā ake māmā, ka puʻuwai, nā aʻa nui, nā iwi ʻaoʻao, a me ka diaphragm.Kū ʻoe i mua o ka mīkini x-ray. E haʻi ʻia ʻoe e hoʻopaʻa i kou hanu ke lawe ʻia ka x...